C
e q u ' e n d i t l a p r e s s e
... "Une musique qu'on écoute avec le coeur, une musique
qui vous prend au plus profond de vous-même et vous entraîne
bien au-delà de vous-même, une musique qui permet
à l'esprit de respirer..."
(La Croix
du Midi)
... "Merci, merveilleux flûtiste "de faire briller
la flamme et naître joyeux le concerto divin" qui aide
ceux qui vous entendent à repartir en avant dans le quotidien
sublimé".
(lettre d'auditeur)
... "Sa musique fait appel au recueillement, c'est pourquoi
elle se joue essentiellement dans les églises, mais chacun
peut y rêver et y voyager..."
(La Nouvelle
République)
... "Une musique des plus pures et des plus évocatrices,
de celles qui évoquent tout d'abord la "Vie"
avant la composition savante d'une partition quelconque ... diversité
des genres, des thèmes de l'inspiration quasi médiévale,
les artistes de cette soirée inoubliable nous transportent
jusque dans les harmonies inédites d'une musique neuve,
une musique où l'on fabrique les sons, mais des sons harmonieux
d'une pureté exquise... une découverte, de riches
expressions capables de transmettre ou d'éveiller les sentiments
et les émotions les plus diverses. Qu'importent donc la
critique musicale, l'étude stylistique, la recherche des
comparaisons, l'essentiel de cette soirée n'a pas été
de retenir, mais de sentir, de s'émouvoir."
(Ph.P. St-Malo)
... "Il n'y a même plus de musique, c'est le souffle
seul de s'artiste qui vibre et fait exprimer au roseau des sentiments
farouchement personnels."
(Le Midi Libre)
... "Il s'agit moins de musique que d'un chant tenant parfois
de la mélopée, poussant à la rêverie,
à la tendresse, une sorte d'introspection sereine, proche
de l'envoûtement."
(Sud-Ouest)
... "Quand on entend tirer de ces roseaux des sons si purs,
si vibrants, si merveilleux, on comprend que depuis des millénaires
la flûte de Pan ait été la compagne du solitaire,
de l'homme attentif au monde et à lui-même et qui
trouvait dans la souplesse et l'ingénuité de cet
instrument, le moyen d'exprimer l'infinie beauté du monde
et l'intense tumulte qu'il sentait en lui-même."
(La Tribune
- Le Progrès)
... "Mais comment s'attendre à cela de la part de
quelques roseaux ?"
(La Montagne)
... "Ceci est de l'impressionnisme dans sa forme la plus
pure, non seulement de par son style, mais aussi de par son attitude
intérieure."
(Neue Presse
- Allemagne)
... "Le programme parait un peu prétentieux, mais
l'exécution musicale est réussie à l'étonnement
secret de l'auditeur."
(Emdener Zeitung
- Allemagne)
... "état d'âmes d'un moment donné qu'il
revit profondément, intensément, d'où les
accents toujours honnêtes de l'artiste."
(Dernières
Nouvelles d'Alsace)
... "On imagine l'homme qui se débat, ses cris aigus
stigmatisent la douleur, puis vient l'agonie lente, lancinante
qui s'achève par un dernier souffle, merveilleusement exprimé."
(L'Alsace)
... "aucun confinement dans quelque répertoire que
ce soit ... une création inattendue, volontairement disgracieuse
mais cependant géniale... "
(Le Progrès
- La Tribune)
... "un son étrange semblant venir de la nuit des
temps s'élève, envahit la nef, à la manière
d'une fumée."
(Le Dauphiné
Libéré)
... "tellement instinctive, tellement profonde est la sonorité
de la flûte de Pan, qu'elle est libre de toute composition,
de tout asservissement musical réfléchi ... un concert
au plus haut point subtil et d'une rare qualité ... la
densité émotive est intense."
(Le Progrès)
... "Cette musique est voix humaine, cri, murmure, souffle.
On la respire, on pourrait presque la toucher."
(La Dépêche
du Midi)
... "tout à la fois réalité et irréalité,
corps et âme, poésie et prose, jour et rêve.
Chanter et parler en musique. Expression de l'âme et du
corps en harmonie parfaite ... expression très personnelle,
mais fascinante jusqu'à la fin."
(Neue Presse
- Allemagne)
... "J.S. BACH aurait écouté, souriant de plaisir
... les sons ont fasciné le public, en produisant un effet
ensorcelant. Ecouter et se laisser ravir."
(Kehler Zeitung
- Allemagne)
... "Les artistes ont demandé une extrême concentration
à leurs auditeurs. Le programme était sans compromis.
Quelques personnes de l'assistance se sentant dépassées,
ont quitté le concert pendant l'entr'acte ; le niveau élevé
fut incontestable. Beaucoup de place laissée à l'improvisation
entièrement utilisée pour transporter les auditeurs
dans un univers, un monde où la musique est ressentie comme
étant l'image même de la vie."
(Mainspitze
- Allemagne)
... "une haute précision technique et une sonorité
pénétrante, sans oublier le contenu spirituel profond
des morceaux."
(Rüsselsheimer
Echo - Allemagne)
... "la flûte de Pan se permet des excès allant
jusqu'à un manque d'orientation apparent. MARA avait toujours
quelque chose à dire."
(Mannheimer
Morgan - Allemagne)
... "les absents n'ont pas eu tort, pourquoi juger ? Ils
se sont simplement privés d'un grand moment d'émotion,
d'un hymne à la joie, d'une tendresse proche des larmes.
Ils n'ont pas gouté à cette bouffée de pureté
que seuls l'art et l'amour peuvent offrir."
(Sud-Ouest)
... "Quel dommage qu'après ce "massage de l'âme",
quelques auditeurs n'aient pu s'empêcher d'applaudir violemment
! Applaudir un prêtre après son sermon réussi
aurait eu le même effet... Une sorte d'hypnose acoustique,
le temps perdait de son importance ..."
(Tagespost
- Allemagne)
... "une musique sans compromis, individualiste, libérée
du formel, refusant toute classification et dont le caractère
méditafif porte un trait panthéiste."
(Neue Presse
Coburg)
... "un monde musical nouveau s'ouvrit aux auditeurs. Des
perspectives sonores inouies, détachées de toutes
formes conventionnelles... On fait appel à l'imagination
de l'auditeur : plus il plonge dans ce monde sonore, plus sa fantaisie
s'épanouit... Ici, concentration et abandon vont de pair,
l'un n'étant pas concevable sans l'autre... Un grand éventail
d'émotions, les quartes et les quintes épanchent
deuil et douleur hors du coeur, mais aussi du réconfort
et en même temps la force de surmonter la peine, de s'élever
comme Phénix des cendres, tel un rayon de soleil qui se
dresse à l'horizon disant adieu au monde avec la certitude
de fêter le retour le lendemain matin."
(Coburger
Tageblatt)